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2017年10月23日星期一

Montres françaises... ou pas ?

Cet article a été initialement publié à peu près à la même date il y a 4 ans.
Il me semble suffisamment important pour le réactualiser. La liste a été mise à jour et nous tenterons de vous informer au fur et à mesure de l'évolution de celle-ci. Le travail de recherche et de compilation n'est pas aussi simple que cela pourrait paraître, mais comme vous avez pu le voir depuis 2010, nous faisons de notre mieux pour vous donner des informations justes, contrôlées et donc parmi les plus fiables du Net francophone. Cette liste est cependant la plus complète disponible en France. Merci pour votre fidélité !


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Les montres de marque française...

Cela fait très longtemps que j’avais envie d’aborder ce sujet, mais au fur et à mesure de mes « explorations », je découvre des éléments qui lient des marques et des « prétentions » d’origine françaises : Elles me retardent dans l’élaboration de ce billet. J’en prendrai donc mon parti en choisissant de le mettre à jour au fur et à mesure de mes « découvertes » ou de vos remarques.
Dans la liste alphabétique déroulée ci-après, nous trouverons un peu dans le désordre des marques établies en France (siège social) qui sont soit « installées », ou prétendument installées ! – Certaines profitent d’une renommée liée au marché du luxe « hexagonalement réputé », mais fabriquent intégralement en Suisse (Swiss Made) – d’autres assemblent peut-être certains éléments ou la montre entière à partir de pièces venues d’horizons multiples – certaines encore ne se tracassent pas avec ces considérations et importent directement du Sud-est asiatique des pièces plus ou moins de qualité, quand d’autres aussi mêlent les deux dernières versions.
Il existait en France une seule manufacture, c’était Pequignet. Les avis étaient partagés en ce qui concernait l'origine de certaines pièces composant les montres. En principe, tous les assemblages étaient faits en France. Malheureusement, fin 2016, elle se trouve en redressement judiciaire. Y aura t-il un repreneur ?
Après bien des difficultés et un dépôt de bilan en 2016, Pequignet est de nouveau dans la course. En effet, un collectif regroupant 4 membres de l'équipe vient de reprendre l'entreprise début 2017, sous la direction de l'un d'entre eux : Dani Royer. Une grande partie des emplois sont préservés et la marque reste dans son berceau à Morteau.
Une petite maison : Lornet, pointe son nez dans ce cénacle très fermé. En développant son nouveau calibre MLA-01, elle pourrait prétendre aujourd'hui à ce titre de "Manufacture" - Elle cite sans équivoque toutes les origines françaises de ses pièces, faisant travailler de vrais artisans horlogers français de la région de Morteau. Elle parviendra à ce titre en fabriquant elle même tous ces composants. Un travail cependant déjà remarquable et exceptionnel !
Il y en avait une autre jusqu’en 2011 : FDMN (fabrication de montres normandes) de Karsten Frasdorf, extrêmement prometteuse, mais les difficultés liées à la mise en place d’une telle créativité franco-française a voué (pour le moment) cette belle aventure au sommeil !
Quand à d’autres expériences du même type (Vincent-Paris, par exemple), elles n’ont pas trouvé les débouchés nécessaires pour leur permettre de perdurer, mais les calibres étaient là importés. D’autres expériences sont à encourager, comme Vangarde qui modifie un calibre ETA réputé en en faisant une œuvre d’art et qui pourrait nous surprendre avec de belles originalités. Plus récemment HOF Watches tente le même parcours.
Tous les autres se retrouvent dans les cas plus haut cités ou des conditions hybrides, quand elles ne créent pas de petits calibres fabriqués en France avec des composants d’origine diverses : alors voici la liste (environ 200 marques) :
Aerotime, Agatha Paris, Agnès B, AHA, Aight, Akteo, Akrone, ALB (Atelier Le Brézéguet), All Blacks (SMB Besançon), All Meca, Anthony, Antoneli, Arthus Bertrand, Atelier, Atelier Arts Mécaniques, Atelier des montres, Auricoste, Baltic, Barthelay, Bayard (Spiero Horlogerie), Bell & Ross, Benjamin Muller, Berthet, Beltonn, Beuchat, Bianchi, Bodet, Boomberg 1968, Borderlake, Boucheron, Bouchonnet (ComtéSavoie 1947), BRM, Briston, Burel, Carmafix, Cartier, Carzo & Lieuter, Catena, CBD, Certus Paris, Chanel, Charles Oudin, Charlie Watch, Chaumet, Cheval Remy, Christian Miche, Chrono Freeze, Chronowatch, Citime, Cobra, Damoiselle D, Davis, Devred 1902, Dior, Dodane, Dolphin Watches, Duc Decreon de St Pierre, Dutrain, Duc Oger, DWYT, Elite, Elsa Lee, Farol, Fleurus, Fjord, Fontenay, FOB Paris, Frenesy, Fréret-Roy, Go Watches, Grayton, GTO, Guionnet, Guy Clarac, Harpo, Hector H, Hermès, Hof Watches, Horae Volant, Humbert-Droz, Ilegal Paris, Immersion, Japy, Jaz, Jean Baptiste Viot, Jean Bellecour, Jean de Laubret - Kody, Jean-Louis Frésard, Jean Muller, Jean-Pierre Lepine, Jetlag, Jost Burgi, J&Y Trinquet, Kankki, Kiplé (SDL), Klokers, Koppo - L'atelier des Montres, Laps, Laval, La Manufacture, La Trotteuse & Cie, Laruze, Les Partisanes, Landeron, Lip, L.Leroy, Lord Henry, Lorma, Lornet, Louis Cottier, Louis Jeansol, Louis Pion, Luc Monnet & Cyril Brivet-Naudot (Arts Mécaniques), Lulu Castagnette, Luzaka, Mademoiselle Anne, Mauboussin, Marea, Maty, Matwatches, MCK, MenHa Tann, Menthe à l'eau, Michel Epenoy, Michel Herbelin, Mikael Bourgeois, MMT, Mona (Monawatches), Moncozet, Moove, Montale Paris, Moog, March LA.B, Morgan, Mr Lenoir, Motor Watch Design, Myno, Nautec, Navitec, Nevo Watch, Novy, Obrey, Offshore Limited, Olivier Jonquet, Olivier Randin, Opex, Ossauwatch, Oxygen, Pam Tim, Panamers, Passy 1850, Patton, Pequignet, Philippe Tournaire, Pierre Lannier, Poiray, Prima Classe, Project o Concept, Pyrénama, Quentin Carnaille, Ralf Tech, Redear, Regnier, Renoma, Rochet, Routine, Roxy, Saint Honoré, Sartory Billard, Schroeder, Silberstein, Sismeek, Skalli Paris, Splitsen, Steel time, Tayroc, Tempus Paris, Thirsty Watch, Thomas Sabo, Timetobekult, Trendy, Ultra, Urmage, Utinam, , Vangarde, Vegea, Vicomte A, Voriagh, Vuillemin Regnier, Yema, Yonger & Bresson, Yves Bertelin, Vasco Watch, Waooh, Water Freeze, Watford, WF, William L, Wysiwatch, XME Company, Zadig & Voltaire, ZRC.
Depuis 2016, quelques marques citées ou non assemblent à nouveau en France, comme LIP ou Louis Cottier. Certains ateliers artisanaux réalisent aussi dans notre pays quelques poignées de montres dans des marques discrètes (ex. Baierlein près d'Avignon, Triskell en Bretagne, ou AHA en Alsace), mais si vous en connaissez d'autres, merci de nous communiquer leurs noms, comme certains l'ont fait en 2017 ( Merci Guillaume) et, qui ont donc été rajoutés à la liste. Il faudra cependant rester pragmatiques sur la définition du Made in France si l'on veut considérer que ces garde-temps ne sont pas, dans la grande majorité des cas, conçus, puis fabriqués avec des pièces de l'industrie française. Ne serait-ce que ce qui concerne les mouvements, en dehors des vieux calibres parfois encore utilisés ou des créations francophones récentes. Le Made in France n'est pas le Swiss Made ! Il n'y a donc aucun critère minimum qui garantisse aujourd'hui le label.
On peut signaler des produits comprenant un ou plusieurs éléments étrangers (dont modules suisses) qui sont cependant totalement assemblés en France à la main par des artisans, comme HOF Watches, Mikael Bourgeois, Jean Louis Frésard, et quelques autres ... ce sont souvent des montres réalisées en peu d'exemplaires, prisées par les collectionneurs, mais au juste prix. La création française n'est pas près de s'éteindre !
Avertissement : Vous serez sans doute étonnés de ne pas trouver certaines marques de luxe ayant pignon sur rue dans la capitale – ceci est dû au fait que quelques-unes d’entre-elles par opposition à d’autres ayant gardé leur siège social en France, ont complètement délocalisé leurs fabrications horlogères en Suisse (Il est difficile de les classer parfaitement - par ex. Chanel Horlogerie fabriqué en Suisse a gardé son siège en France - plus d'infos ici : link Il y a plusieurs autres comme Poiray etc..) J'aime aussi observer que certains créateurs (ceux de Charlie Watch) prennent la décision de fabriquer leurs montres à Paris même si leurs calibres quartz viennent de Suisse. D'autres emboîtent le pas comme Mauboussin. Par ailleurs, il n’est pas question de dire ici que les marques présentées sont toutes dignes de confiance. Il en reste un certain nombre très douteuses – ni de lister toutes celles de « bas de gamme » distribuées dans les réseaux du type « Hypermarché » comme Clyda, Pally Jane, R Fight, Louis Chatel, Performer, Pic et Poc, Fizz, Auriol et quelques autres que nous rajouterons au fur et à mesure de leur identification. Ces marques n’ont pas d’existence propre et ne sont qu’un nom distribué par un groupe multi-activités. On peut noter aussi des "essais" plutôt amusants pour ne pas les qualifier de "gadgets", comme Stilic Force. Cependant, la grande majorité reste un ensemble de marques typiquement horlogères, consacrant son savoir-faire sur la distribution de garde-temps. Cet article ne va pas non plus lister les synergies entre certaines marques, mais elles existent. Les montres connectées ne sont pas listées (il y en a un certain nombre), ni les fabrications très particulières à l'attention des malvoyants, des sportifs, des infirmières et de tous les utilisateurs spécifiques. Ce qui peut réellement nous rassurer, c’est le fait que l’industrie hexagonale de montres n’est pas si terrassée que cela et que nous pourrions espérer des meilleurs d’entre-elles, les soubresauts et la reconnaissance qui leur permettra de reprendre une vieille place largement oubliée de la création horlogère française.
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